Exposition « Ouf de Japon »

Exposition  « OUF DE JAPON »
Monique Fournier, Kilde et Hitomi Takeda
Du mardi 10 décembre au mercredi 15 janvier 2025 
Vernissage mardi 10 décembre, 18h30
 
Le soir du vernissage, mardi 10 décembre, 18h30, démonstration de Kimono Kitsuke animée par Mariko UEHARA, professeure certifiée de l'école Maemusubi-ryu
Durée : 1 heure
 
 
Ateliers
 
 
Samedi 14 décembre, atelier ouvert de 14 h à 17 h,
« Apprends à dynamiser tes dessins ! Donne de l’énergie à tes mangas ! »
Animé par KILDE
Tout public (Adultes et enfants à partir de 11 ans), vous restez le temps que vous désirez.  
Gratuit
Mercredi 11 et mercredi 18 décembre, atelier ouvert de 10 h à 12 h et de 14 h à 16 h,
« Viens travailler la feuille dorée, argentée, cuivrée »
Animé par Monique Fournier
Tout public (Adultes et enfants à partir de 6 ans)
Gratuit
Samedi 11 janvier 2025 de 11 heures à midi 
Atelier de calligraphie animé par Mariko UEHARA.
Tout public à partir de 16 ans
Gratuit sur inscription auprès de la Médiathèque : 04 91 96 31 76
 
 
 
Pour en savoir plus au sujet de KILDE :
Frédéric Michel, professeur d'arts plastiques en collège est connu sous le pseudonyme Kilde. Artiste français originaire de Marseille, Kilde puise son inspiration dans la culture populaire et urbaine et plus particulièrement en ce moment dans les mangas pour créer des œuvres dynamiques. Il pratique sur de multiples supports, toile, papier cartonné, feuille en variant les outils et les techniques ; bombe aérosol, pochoir, encre, peinture, dessin, pastel. Ses œuvres s'inspirent des mangas, Dragon Ball, Naruto, Demon slayers,.. Énergiques et colorées par l'emploi d’éclaboussures, des projections de peintures, des taches, des auras de lumières. 
Ses dernières œuvres Japonisantes racontent une histoire. Capturant l’esthétique élégante et la profondeur spirituelle du Japon tout en intégrant des éléments contemporains.
L'art est un moyen de sensibilisation et d'engagement pour lui. Il diffuse sa passion dans des ateliers pour les jeunes. Kilde contribue à l’éducation artistique et à la promotion de la culture urbaine et populaire. 
Pour en savoir plus au sujet de Monique Fournier :
Monique Fournier a commencé à peindre à 40 ans, il y a 27 ans déjà...
Ayant plusieurs cordes à son arc, elle a eu plusieurs vies : sa première vie fut emplie de voyages alors qu’elle exerçait le métier de guide interprète. Pendant quelques années, elle vécut en Asie – Thaïlande, Sri Lanka, Birmanie, Hong Kong puis voyagea en Egypte, Tunisie, Israël, Etats Unis, Mexique... et très souvent en Italie, pour laquelle elle eut et conserve un amour infini.
Sa deuxième vie a commencé le jour où elle a rencontré son mari, elle se consacra alors à sa famille. Puis les enfants se sont envolés et elle commença à peindre. De hobby, la peinture est vite devenue passion puis obsession pour finir par envahir son quotidien.
Alors sa troisième vie a commencé : d’ateliers en expos, puis les Beaux-arts à Marseille, elle a essayé de toucher un peu à tout, beaucoup tâtonné pour arriver à trouver les thèmes qui lui correspondaient et les techniques pour les exprimer.
Ses voyages au Cambodge, Vietnam, et surtout au Japon ont été des coups de cœur intenses qui influencent profondément son travail.
Avec sa peinture, elle explore les thèmes qui la touchent particulièrement dans la culture de ces pays, de la douceur et la beauté des femmes à l’architecture et aux symboles du bonheur, en s’inspirant de leurs techniques artistiques traditionnelles.
Pour en savoir plus au sujet d’Hitomi Takeda :
Hitomi Takeda est une artiste japonaise. Elle est arrivée en France en 1996 et a obtenu son Diplôme National Supérieur d’Expression Plastique avec mention du Jury en 2003 à l’Ecole Supérieure d’Art d’Aix-en-Provence. Depuis, elle vit et travaille à Marseille.
Elle a toujours dessiné depuis sa plus tendre enfance. Sa mère, qui détestait les taille-crayons, lui a appris, dès son entrée en CP, à tailler ses crayons avec une grande précision à l’aide d’un cutter. Son sens aigu de la rigueur et du détail est né à ce moment-là. Depuis, comme un rituel, avant de se mettre à dessiner, elle commence toujours par tailler la pointe du crayon qui lui permettra de tracer les lignes les plus fines possibles. Ses dessins bien que très réalistes transcendent toujours la réalité.